- “Il se leva debout” (Hugo, Les Misérables)
- “Je dirai qu’une femme ne doit jamais écrire que des oeuvres posthumes à publier après sa mort” (Stendhal, De l’amour)
- “Jamais les larmes de mon ami n’arroseront le noeud qui doit nous unir” (Rousseau, La Nouvelle Héloïse)
- “Quatre mille Arabes couraient derrière (un chameau), pieds nus, gesticulant, riant comme des fous, et faisaient luire au soleil six cents mille dents blanches (Daudet, Tartarin de Tarascon)
- “D’une main il leva son poignard, et de l’autre il lui dit…”(Ponson du Terrail)
- “Je m’en vais mettre les fers au feu pour tirer les vers du nez de Mme Barbançon afin de voir ce qu’elle a dans le ventre ! “(Eugène Sue, Les Sept pêchés capitaux)
- “Ah ! dit Don Manoel en portugais…” (Dumas, Le Collier de la reine)
- “Oui, oui, nous partons, dit Pierre, qui se détourna, cherchant son chapeau, pour s’essuyer les yeux.” (Zola, Lourdes)
- “Je dirai qu’une femme ne doit jamais écrire que des oeuvres posthumes à publier après sa mort” (Stendhal, De l’amour)
- “Jamais les larmes de mon ami n’arroseront le noeud qui doit nous unir” (Rousseau, La Nouvelle Héloïse)
- “Quatre mille Arabes couraient derrière (un chameau), pieds nus, gesticulant, riant comme des fous, et faisaient luire au soleil six cents mille dents blanches (Daudet, Tartarin de Tarascon)
- “D’une main il leva son poignard, et de l’autre il lui dit…”(Ponson du Terrail)
- “Je m’en vais mettre les fers au feu pour tirer les vers du nez de Mme Barbançon afin de voir ce qu’elle a dans le ventre ! “(Eugène Sue, Les Sept pêchés capitaux)
- “Ah ! dit Don Manoel en portugais…” (Dumas, Le Collier de la reine)
- “Oui, oui, nous partons, dit Pierre, qui se détourna, cherchant son chapeau, pour s’essuyer les yeux.” (Zola, Lourdes)
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