
L’antidreyfusisme mit du temps à désarmer avant de s’avouer vaincu. Le 29 janvier 1912, Maurras écrivait encore de Dreyfus :
”…quelque jour, après lecture d’un arrêt de justice -arrêt définitif, sans merci, celui-là- douze balles lui apprendront enfin l’art de ne plus trahir et de ne plus troubler ce pays qui l’hospitalise“. Le même Maurras quittera la scène à l’issue de son propre procès et de sa condamnation au lendemain de la Libération par un historique :
”C’est la revanche de Dreyfus !”
1 comentário:
Foto infinitamente mais bonita do que as minhas...
Símbolo de "joie".
História e espaço livre.
Ferro e alma de visionário.
Um sonho.
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